Offrande de messe

Pour les défunts

La coutume de faire dire des messes à l’intention des défunts est très ancienne. C’est un geste d’amitié et d’affection, qui permet de dire à celui ou celle qui est parti(e) : “Que Dieu t’accompagne dans ta nouvelle demeure, et là où tu es, ne nous oublies pas !”

Pour des personnes en vie

On fait dire des messes parfois à des intentions de personnes que l’on connaît et que l’on veut confier à la tendresse de Dieu.

En voici des exemples :

  • pour des jeunes mariés,
  • des nouveaux prêtres,
  • un malade,
  • pour un parent,
  • un ami,
  • pour soi-même,
  • pour la vie du monde,
  • pour la vie de l’Église…

Pour dire merci à Dieu

Faire dire une messe à l’occasion d’évènements heureux ou solennels est aussi possible. On remercie Dieu pour toutes les grâces et les joies reçues :

  • la naissance d’un enfant,
  • des noces d’or ou d’argent,
  • pour un jubilé sacerdotal,
  • pour une guérison,
  • une paix retrouvée…

Aux intentions de l’Eglise Universelle

On peut faire dire des messes, uniquement pour être en communion avec les membres de l’Eglise. Toutes les messes célébrées par les prêtres, où qu’ils se trouvent, prennent toujours en compte les intentions de l’Eglise Universelle. S’y associer par l’offrande d’une messe est alors un geste de pure gratuité.

La messe n’a pas de prix

Dès les origines de l’Eglise, les fidèles ont voulu participer à l’Eucharistie par des offrandes en nature ou en espèces. Elles étaient destinées à assurer les frais du culte, la subsistance des prêtres, la vie de l’Église.

C’est l’origine de la pratique des “honoraires de messe”, qui date du VIIIe siècle et qui s’enracine dans l’Ancien Testament où le prêtre recevait une part des sacrifices faits à Dieu. Le prêtre doit toujours pouvoir “vivre de l’autel”. La vie matérielle de l’Église et de son clergé repose donc sur cette contribution volontaire des fidèles.


Honoraires des messes

Pour une messe, l’offrande proposée est de 18 .

Où s’adresser ?

Pour demander des messes, il faut s’adresser au secrétariat de la paroisse (voir permanences) ou à la sacristie.